Geste promis, geste
accompli. Jésus avait promis à ses amis de leur envoyer le Saint-Esprit.
Il le leur envoie au jour de la Pentecôte.
« Esprit
Saint, c’est toi qui mets l’amour dans nos cœurs. C’est toi qui fais
comprendre la Parole de Dieu, et qui nous fais prier. C’est toi qui nous
donnes la paix et la joie à la manière de Jésus.
Gloire à toi, Esprit de
Dieu. Je t’aime et te remercie.
Ainsi
donc, viens, Esprit Saint, allume en nous le feu de ton amour. Viens
changer le cœur de tous les gens de la terre pour qu’ils bâtissent un
monde meilleur.
Viens encore, Esprit de
Jésus, donne-moi la chance de découvrir ta Parole. Parle en mon cœur
pour prier le Père comme il faut. Envahis mon cœur de ta paix et de ta
joie, que je ne connaisse plus la tristesse. Et de mon cœur, rayonne ta
merveilleuse présence. »
Avant d’être une force,
une lumière, l’Esprit Saint c’est quelqu’un, c’est une personne.
Quelqu’un qui est présent en nous, en chacun de nous. Quelqu’un à qui je
peux m’adresser en tout temps, parce que c’est quelqu’un. Cette
personne, en complicité avec nous, agit pour nous faire faire tout ce
qui est bien de faire. « Sans moi, vous ne pouvez rien faire », dit
Jésus.
Ce que l’Esprit Saint
produit, c’est l’amour les uns pour les autres, c’est la joie, c’est la
paix intérieure et la paix avec ceux qu’on retrouve près de soi, c’est
la patience, la bienveillance, la bonté, la fidélité, la douceur, et la
maîtrise de soi (Galates, 5, 22-23).
Le Souffle de Dieu,
c’est quelqu’un. Voilà pourquoi au début de ce billet de réflexion, je
me suis adressé à lui.